Pour identifier ses inséparables et certifier leur origine, un seul moyen : le baguage !
Afin de prouver l'origine de l'oiseau de façon incontestable, l'éleveur procède à son baguage. Il s'agit d'enfiler un anneau métallique sur la patte de l'oisillon, entre le 8e et le 15e jour. On se repère souvent au moment où l'oisillon commence à ouvrir les yeux, mais il faut vérifier tous les jours si la bague n'a pas été enlevée. Il convient de ne pas forcer dans ces manipulations. Si l'on rencontre une résistance, on peut faciliter la pose en humidifiant la bague. En cas d'oubli ou d'extrême limite, on peut aider la bague à passer en huilant un peu la patte et en s'aidant d'une tête d'épingle. Malgré tout, je reste partisant du : "Si ça ne passe pas, tant pis !" Inutile de blesser le petit parce qu'on a soi-même pris du retard...
Au cours de la croissance, la bague sera retenue définitivement par la cheville de l'oiseau. Ainsi on a la preuve que l'oiseau est issu d'un élevage. L'éleveur peut ainsi suivre son oiseau dans son élevage (généalogie, suivi sanitaire, échange ou vente, références dans les cahiers d'élevage, statistiques...) et participe à la reconnaissance officielle de notre passion. L'acquéreur de l'oiseau peut retrouver son origine et remonter son histoire. De plus, cette bague délivre bien d'autres informations : le numéro de l'éleveur, la fédération qui a délivré les bagues, l'année de naissance, le numéro de l'oiseau et la taille de la bague. La couleur, quant à elle différente chaque année, permet une reconnaissance à distance de l'âge de l'oiseau. L'usage des bagues colorées reste néanmoins facultatif, la teinte standard étant argentée. Le diamètre pour les roseicollis est de 4,5 mm.
Si vous avez pris la précaution de visiter les nids à heure régulière quelques jours auparavant, les parents ne seront guère effarouchés. Il est toujours délicat et déconseillé de forcer des oiseaux à sortir du nid mais avec un contrôle régulier, cela devient presque un automatisme pour eux.
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Afin de prouver l'origine de l'oiseau de façon incontestable, l'éleveur procède à son baguage. Il s'agit d'enfiler un anneau métallique sur la patte de l'oisillon, entre le 8e et le 15e jour. On se repère souvent au moment où l'oisillon commence à ouvrir les yeux, mais il faut vérifier tous les jours si la bague n'a pas été enlevée. Il convient de ne pas forcer dans ces manipulations. Si l'on rencontre une résistance, on peut faciliter la pose en humidifiant la bague. En cas d'oubli ou d'extrême limite, on peut aider la bague à passer en huilant un peu la patte et en s'aidant d'une tête d'épingle. Malgré tout, je reste partisant du : "Si ça ne passe pas, tant pis !" Inutile de blesser le petit parce qu'on a soi-même pris du retard...
Au cours de la croissance, la bague sera retenue définitivement par la cheville de l'oiseau. Ainsi on a la preuve que l'oiseau est issu d'un élevage. L'éleveur peut ainsi suivre son oiseau dans son élevage (généalogie, suivi sanitaire, échange ou vente, références dans les cahiers d'élevage, statistiques...) et participe à la reconnaissance officielle de notre passion. L'acquéreur de l'oiseau peut retrouver son origine et remonter son histoire. De plus, cette bague délivre bien d'autres informations : le numéro de l'éleveur, la fédération qui a délivré les bagues, l'année de naissance, le numéro de l'oiseau et la taille de la bague. La couleur, quant à elle différente chaque année, permet une reconnaissance à distance de l'âge de l'oiseau. L'usage des bagues colorées reste néanmoins facultatif, la teinte standard étant argentée. Le diamètre pour les roseicollis est de 4,5 mm.
Si vous avez pris la précaution de visiter les nids à heure régulière quelques jours auparavant, les parents ne seront guère effarouchés. Il est toujours délicat et déconseillé de forcer des oiseaux à sortir du nid mais avec un contrôle régulier, cela devient presque un automatisme pour eux.
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